Humilié, conspué par les nations, Israël traverse une crise majeure de son histoire depuis sa création en 1948 ; c’est un véritable traumatisme provoqué par ce jour fatidique, le massacre du 7/10, avec des viols, des décapitations, et autres actes barbares « autorisés » par le Coran. Que les démocraties cessent de se leurrer, chaque Musulman qu’elles hébergent s’abreuve à la même source du Coran, défendant la même cause du djihad, en vue d’instaurer la shariah.
Pourtant, cette barbarie délibérée ayant pour but d’inspirer la terreur, filmée à outrance et à vomir, donnait à Israël une vraie légitimité pour enfin pouvoir éliminer le Hamas. Le monde comprendrait… le prix à payer serait élevé, mais Israël était prêt à cela pour retrouver sa sécurité, et donner un coup sérieux au terrorisme dans le monde.
Hélas, c’était sans compter sur la couardise et l’hypocrisie du monde occidental, sur le silence complices des ONG et de l’ONU, et sur la grande armée des « réfugiés » de confession musulmane ayant phagocyté les démocraties occidentales et manifestant dans toutes les capitales.
Pourtant le monde devait voir ce que représente Gaza, une vraie ville souterraine, une forteresse faite de tunnels, abritant un arsenal de guerre incroyable, d’où le Hamas peut impunément bombarder Israël avec ses dizaines de milliers de missiles. Cette forteresse a été édifiée sur les ruines de villages israéliens qui avaient fait de ce lieu un petit paradis… Gaza, la plus grande cité terroriste du monde, financée par les subsides généreux de l’Occident aveugle (ou hypocrite) et du cynique monde arabe.
Et alors qu’aujourd’hui, Tsahal parvient petit à petit, par ses destructions aériennes ciblées et avec l’aide de l’infanterie, à éliminer la menace du Hamas, détruisant de manière systématique les centres de commandements et les centaines de tunnels, le Hamas sort tout à coup son arme favorite et diaboliquement efficace, l’arme des otages.
Cette trêve arrive à point nommé pour le Hamas qui va pouvoir se refaire, se réarmer et se réorganiser, en proposant la libération d’otages, mais… « au compte-goutte ». 50 otages contre 150 prisonniers Palestiniens, potentiels terroristes, et contre 4 jours d’une trêve qui pourrait devenir un Cessez-le-feu que le monde va vouloir imposer à Israël. Une arme diablement efficace, sachant ce que représentent ces otages – des enfants (dont un bébé de 10 mois), un mari ou une grand-mère, des frères et sœurs, pour les familles israéliennes angoissées depuis 48 jours faisant pression sur le gouvernement.
Quel dirigeant pourrait refuser de saisir cette occasion de faire libérer des otages ?… Israël est piégé. 239 otages – le Hamas, peut facilement faire prolonger la trêve pour des semaines et obliger ainsi Israël à stopper définitivement ses attaques.
Le Hamas, mandataire de l’Iran qui a comme but de détruire Israël et le peuple juif, connait parfaitement la faille d’Israël – Israël aime trop la vie. Le judaïsme enseigne que « celui qui sauve une vie, sauve le monde ». Et Golda Meir disait très justement : « La paix viendra quand les Arabes aimeront leurs enfants plus qu’ils ne nous haïssent ». Or, les mères arabes sont fières de ce que leurs enfants deviennent des « shahid », des martyrs pour la cause de l’islam. Le monde est suicidaire de ne pas comprendre le but de l’Islam et de sa frange radicale, et de ne pas voir qu’Israël est son sauveur. Ne nous trompons pas nous-mêmes, ce que vit Israël aujourd’hui sera demain le cauchemar des nations.