Lorsqu’une sommité morale et religieuse comme le Pape refuse de nommer les choses, disant que l’Islam n’a rien à voir avec la violence, le monde est au plus mal. Cette forme de déni est terrible, car elle occulte le génocide actuel des chrétiens d’Orient, massacrés par les fous d’Allah.
« Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique », a-t-il dit au micro au retour des JMJ. Il semble que le Pape met au même niveau les crucifixions barbares, les membres coupés, les jeunes filles violées et égorgées, les homosexuels jetés vivants du haut des immeubles, aujourd’hui un prêtre décapité et immolé sur l’autel, et … « la violence catholique »… Est-ce un rappel de l’Inquisition criminelle perpétrée contre les Juifs d’il y a plus de 5 siècles, ou la saint Barthélémy qui vit la disparition de quelques 30 000 Protestants de France ? Mais dans ce cas, il faut rappeler les razzias dans le sud de la France des Sarrasins ou Mahométans qui émasculaient les hommes , déportaient les jeunes filles pour en faire des esclaves, etc. Le danger n’est pas dans l’Histoire, mais dans l’actualité.
Réformer une religion irréformable ?
Aujourd’hui en notre 21e siècle, le Christianisme a fait sa réforme, Dieu merci, mais l’Islam ne peut (ou ne veut) pas la faire. Les versets du Coran sont clairs, il faut tuer les infidèles et imposer la shariah. Ne fallait-il pas le dire, le dénoncer, et mettre les Musulmans soi disant modérés au pied du mur ? … Que font-ils d’ailleurs ces Musulmans « modérés » pour se démarquer des terroristes Islamistes ? Il est plus facile de se mobiliser contre Israël que contre la barbarie islamique.
Abdellah Tourabi, chercheur, politologue et islamologue marocain dénonce le principe du « pasdamalgame » : « Les adeptes de Daech appliquent le Coran à la lettre, font des hadiths le fondement même de leur vie quotidienne, et veulent reproduire intégralement la première forme politique connue de l’Islam, le califat. Leur univers est certes fantasmé et anachronique, mais il correspond à une réalité qui a existé il y a 14 siècles. Le nier ou refuser de le reconnaître serait un aveuglement ». (voir LIEN)
L’embrassade du Pape avec Ahmed al-Tayeb, grand imam d’al-Azhar sur la photo ci-dessus est explicite. Quel fruit peut-il sortir d’une telle union ? On sait ce que cela a donné avec Hitler en Europe ou Hadj Amin al-Husseini, grand mufti de Jérusalem. On ne traite pas avec de tels ennemis.
« Al-Tayeb n’a-t-il pas déclaré au cours de sa visite au Vatican que le christianisme est une religion d’amour et de paix ? Alors, pourquoi al-Azhar promeut-il le massacre des Chrétiens ?…» (voir l’article de Rosaly, pour Dreuz.info).
« Paix, paix, disent-ils… »
Le prophète Jérémie (9:8) nous avertissait : « Leur langue est un trait meurtrier, ils ne disent que des mensonges ; de la bouche ils parlent de paix à leur prochain, et au fond du coeur ils lui dressent des pièges ».
Notre époque est vraiment le temps du déni, de la négation, du refus de dire la vérité… le temps de la désinformation médiatique et d’une politique sordide. Nous sommes dans le règne du mensonge, ou pourrait-on dire celui du Menteur, celui qui appelle bien ce qui est mal. Jésus l’a défini ainsi : « Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge ».
Il est satan, le diable ou le destructeur. Daniel (9:27) le nomme le dévastateur : « Le dévastateur (shamem) commettra les choses les plus abominables, jusqu’à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur ».
Voilà la bonne nouvelle ! Une limite a été fixée à ce règne diabolique : « … jusqu’à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur lui ».
Malheur à ceux, petits ou grands de ce monde, qui font aujourd’hui le jeu du Menteur.