7 juin 2016
Pasteur Gérald Fruhinsholz
Incroyable jour de liesse à Jérusalem ! Dimanche, c’était Yom Yerushalaïm, la célébration de la « Journée de Jérusalem ». Des dizaines de milliers de personnes étaient dans les rues, la plupart des jeunes. Aucun incident sérieux n’est survenu.
Le 28 Iyar 5727 – le 7 juin 1967, la ville était libérée de l’occupation jordanienne, et réunifiée. En 1980, la Knesset décréta Jérusalem « capitale éternelle et indivisible » d’Israël.
En vivant en Israël, nous avons vraiment le sentiment d’être au centre du monde, et au coeur des événements bibliques. C’est même une réalité, quand on lit les prophéties antiques : « Je ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement pour tous les peuples d’alentour… une pierre pesante pour tous les peuples ; tous ceux qui la soulèveront seront meurtris » – Zacharie 12:2-3.
N’est-ce pas ce que l’on voit de nos jours ?… Il est difficile d’être athée en considérant les faits qui sont tellement liés à l’Etat juif que le monde refuse, et à la question de Jérusalem que les nations veulent diviser.
Les temps arrivent à leur terme. Dieu aura le dernier mot ; Sa patience ayant des limites, la coupe déborde : Il révèle déjà sa colère sur les nations qui contrecarrent Ses projets…
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Charles Gardner- Israel Today
5 juin 2016
Inondations en France…
(Floods in France and their Israel policy)
Bien que les nouvelles des dévastations causées par les inondations en France et en Allemagne aient naturellement été un choc et suscité la sympathie, je ne peux m’empêcher de connecter ces événements avec les nouveaux efforts d’une « paix » que l’Europe essaie d’imposer à Israël. Et il semble maintenant avéré que le Président Obama soutient le plan français d’imposer les exigences palestiniennes sur Israël.
Comme je l’ai souligné dans mon livre « la paix de Jérusalem » dans un chapitre sur les tempêtes politiques de Dieu – avec notamment la polémique sur les inondations en Grande-Bretagne il y a deux ans – les catastrophes naturelles ont accompagné pratiquement toute tentative du Gouvernement des États-Unis pour imposer une « solution à deux Etats » sur l’Etat juif, qui diviserait la terre, en contradiction directe avec la Parole de Dieu.
Dieu a précisé qu’Il jugerait ceux qui ont dispersé Son peuple parmi les nations et ont divisé Sa terre (Joël 3.2). Le psaume 83 dépeint en outre un tableau précis de la politique et des intentions des ennemis d’Israël, tels le Hamas, le Hezbollah et l’Iran, disant : « Exterminons-les du milieu des nations, qu’on ne se souvienne plus du nom d’Israël » (verset 5). Et le Psalmiste d’inviter le Dieu d’Israël à les « poursuivre de sa tempête, et de les faire trembler par ses ouragans » (verset 16).
Le lancement des Accords de paix d’Oslo, le 31 octobre 1991, avec George Bush senior, et son concept de « la terre pour la paix », a vu le jour suivant survenir « la tempête parfaite » (perfect storm) comme elle a été surnommée, qui a fini par démolir sa propre maison. Un an après, le jour même où il présidait une Conférence sur ces mêmes Accords, l’ouragan Andrew – la pire catastrophe naturelle qui ait frappé l’Amérique à ce moment-là – a détruit plus de 180.000 maisons en Floride, causant plus de 30 milliards de dollars de dommages.
L’on peut également citer les terribles inondations qui ont frappé la Nouvelle-Orléans avec l’ouragan Katrina en août 2005, juste après que les Juifs (du Goush Katif) aient été expulsés de leurs maisons dans la Bande de Gaza par un Israël sous pression des Etats-Unis et de la Communauté internationale pour l’acceptation d’un « plan de paix ». Gaza est devenue comme on le sait un avant-poste pour le lancement des roquettes visant la destruction d’Israël, qui est le but final de l’Autorité palestinienne et de ses alliés.
Les politiciens peuvent se moquer, mais le Tout-Puissant veille jalousement sur « sa propriété », et les leaders occidentaux s’attirent sur leur propre peuple des catastrophes, coûtant des vies et des milliards de dollars. Hélas, peu d’entre eux voient le lien entre leur folle stupidité et le défi qu’ils jettent au Dieu d’Israël.
À ceux (chrétiens) qui ne croient pas que Dieu est dans des affaires de jugement dans « l’ère de grâce », rappelons-nous le jugement d’Ananias et de Saphira pour avoir menti au saint-Esprit, au début de la première Eglise (Actes 5.1-10). Et à ceux qui pensent que Dieu n’interfère pas sur la terre au moyen des forces climatiques, référons-nous au jour où Jésus a ordonné à la tempête de se calmer, sur la mer de Galilée.
« Quel genre d’homme est-ce ?, se demandèrent les disciples. Même les vents et les vagues Lui obéissent. » (Matthieu 8.23-27)
Oh ! que nous ayons tous, et notamment nos leaders, le désir plus que tout d’obéir au Seigneur de l’univers !